Plus d’un est surpris que dans ma tête ne restent que les mots de la fin de la dernière conversation que j’ai eu avec eux. Cela peut être un «les gens qui viennent aux bars du Canal St-Martin ont des cheveux aux tons châtains roussâtres», ou un «non, y’a pas d’épicerie plus haut… mais à l’angle avec Pyrénées, il y a un supermarché», ou un «salut, et n’oublie pas de dire à Gilbert de nous préparer du Diesel au Tulamore Dew»… Cette vie est si excitante que le récit ressemble à une chronique des chiens écrasés.
23 abril 23+01:00 2012 en 8:33 PM
uta madre, sí que estás lejos ¿pos a kién mataste? jajajajajajajajajajaja
29 junio 29+01:00 2012 en 11:00 AM
Ganas tuve.
Pero lo pasado, pisado